l'assassin...

L'assassin...

Cela s'est passé il y a 5 ans environ, dans un quartier de Paris, je sortais de chez moi pour aller au collège des champs.

Arrivée dans la cour, je me dirigeai vers mon casier comme chaque matin. Je l'ouvris et m'aperçus un vielle agenda noir sans aucune écriture... Je n'eus pas le temps de réfléchir car soudain, l'alerte incendie retentit. Pressée je mis l'agenda dans mon sac et l'oubliai. J'appris peu – après, que l'incendie avait dévasté la bibliothèque du collège...

Le soir, je rentrai de cette journée mouvementée et m'assis à mon bureau. En fouillant dans mon sac j'aperçus le vielle agenda et l'ouvris à la page du jour. Je pouvais vaguement lire en rouge sang:

«Plus de livre au collège...» Surprise et terrifiée à la fois, je refermai l'agenda brutalement, refusant de comprendre. Je m'endormis terrifiée par le doute.

Le lendemain, peureuse mais curieuse, je décidai d'ouvrir l'agenda, bien que je fusse fatiguée par la nuit blanche que je venais de passer. Je pus vaguement lire, les yeux a peine ouverts: «l'assassin disparaîtra...» Pendant un instant je restai figée. Cependant je devais prendre une décision. Terrifiée, je finis par paniquer: je m'habillai a toute vitesse  les membres tremblant et courus vers le collège... Arrivée devant l'enceinte envahie par la foule, j'aperçus au loin, la police et les médecins formant un cercle autour de la victime. Une rumeur circulait dans la foule: «On l'a trouvé mort seul dans son bureau, sans savoir les causes de la mort»

...

Me sentant coupable de n'avoir rien pus faire je fondai en larme, en courant chez moi avec une seule idée en tête me débarrasser de ce mystérieux agenda afin de calmer ma colère. Courant a perdre haleine, j'arrivai chez moi essoufflée par ma course. J'entrai dans ma chambre à toute vitesse, je fouillai,renversant tout et je m'aperçus alors que l'agenda avait disparu...

    Mais l'encre qui semblait avoir servi à l'écriture des messages dans l'agenda était étalé sur mon bureau et formait le message suivant: «L'assassin reviendra...ton amie en mourra...»