les cendres du gardien

les cendres du gardien

Je m'appelle romain berthout, j'habite à flers plus exactement au collége sévigné car je suis le directeur de ce collégé. J'occupe un logement de fonction tout comme le gardien et le sous-directeur. Je vais vous raconter une histoire qui m'est arrivée il y a à peu près deux mois, une histoire vraiment étrange.

C'était un lundi soir, je fêtais mes trente ans avec des copains et comme à mon habitude, j'avais encore un petit peu trop bu. Vers 23 heures, je rentrai dans mes appartements. Je croisai un homme bien charpenté au visage radieux avec un teint très clair. Il avait les cheveux mi-longs et très bruns, ses yeux étaient marron comme des noisettes. Ce jeune homme avait une petite bouche et un sourire timide se dessinait sur ses lèvres. En le regardant de plus prés, je reconnus le gardien qui faisait sa ronde. Je m'approchai de lui peu à peu avec un mal de tête terrible et une envie de dormir. Nous parlâmes deux minutes et d'un seul coup, un événement inexplicable se produisit, le gardien venait de se dissoudre devant mes yeux, il ne ressemblait plus qu'à un tas de cendres. Sur le moment, je ne compris pas ce qui venait de se passer et après cela devint encore plus étrange, le gardien venait de renaitre de ses cendres. Je me sentis très mal et je m'évanouis. Pendant quelques minutes, le gardien essaya de me réveiller. Je me réveillai avec deux questions en tête : s'était-il vraiment passé quelque chose ou avais-je été victime d'une hallucination provoquée par la fatigue? Je rejoignis mon lit, complétement tétanisé. Toute la nuit je ne dormis pas et ce fut la même chose les nuits suivantes.

Une semaine plus-tard, je fêtai les trente et un ans de mon meilleur ami. Cette fois, je fis attention à ne pas tros boire. Je rentrais comme la semaine précedente vers 23 heures mais là en pleine forme. Le gardien était dans la cour. Je vins lui parler, et comme l'autre semaine, le gardien disparut devant mes yeux formant un gros tas de cendre. Met cette fois-ci il ne reapparut pas.

J'étais térrifié, mes dent et mes genoux claquaient. Je n'en revenai pas. Mes alors deux qestions me vinrent à l'esprit: était-ce une coincidence ou était-ce à cause de moi que le gardien était mort. Je rentrai chez moi et allai tout de suite à la police où je leur annoncai la mort du gardien. Le policier qui s'occupait de moi me révéla qu'il n'y avait pas eu de gardien depuis 10 ans. Lorsque j'insistai, le policier me prit pour un fou et me jeta hors du commissariat.

Parmi toutes les personne auxquelles j'ai raconté cette histoire, aucune ne m'a jamais cru avant vous, si vous arrivez à me croire.